Espace de consultation, de travail et d’accompagnement pour les élèves. Aucun but lucratif
jeudi 31 octobre 2013
mardi 29 octobre 2013
Passif
Transformez les phrases à la voix passive :
Tous
les élèves aimaient leur professeur.
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………………………………………………………………………………………………………………………………………
Les
révolutionnaires ont détruit la Bastille.
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………………………………………………………………………………………………………………………………………
Tous
ces voyageurs prendront le train de 16h18.
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………………………………………………………………………………………………………………………………………
Daniel
remporte la course.
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………………………………………………………………………………………………………………………………………
La
tempête déracina tous les arbres.
|
………………………………………………………………………………………………………………………………………
Ce
journaliste a écrit cet article.
………………………………………………………………………………………………………………………………………
Gutenberg inventa l’imprimerie au 15ème
siècle.
………………………………………………………………………………………………………………………………………
Cet été, on a retrouvé d’anciens amis.
………………………………………………………………………………………………………………………………………
Les
premiers hommes ont découvert le feu il y a
très longtemps.
………………………………………………………………………………………………………………………………………
Le
vent emportera tous les chapeaux.
………………………………………………………………………………………………………………………………………
Christophe Colomb a découvert l’Amérique en
1492.
………………………………………………………………………………………………………………………………………
samedi 26 octobre 2013
Les Français
Perdu en Amérique du sud, me délectant d’une fejoada,
Je délirais comme d’habitude, transporté par la cachaça.
Une jeune femme me regardait mais moi je ne l’avais pas vue.
Elle souriait et m’écoutait puis m’accosta, j’en fus ému !
Elle parlait la langue de Rousseau, nous nous fîmes donc des confessions.
Faisant murmurer tous nos mots, elle me chuchota une question :
« Dis-moi, t’es d’où ? ça m’ turlupine ! D’après l’accent t’es de Paris
Mais tu as la chaleur latine, t’es pas français, non, t’es d’ici. »
Les frontières, je trouve ça inepte, mais je vais t’répondre sans délai
Je suis un gitan du concept et en moi, ils naissent en français !
Exilé en Afrique du nord, je mangeais une tchatchouka.
J’criais à réveiller un mort, humectant mes lèvres de boukha !
Une jeune femme me regardait, mais moi je ne l’avais pas vue.
Elle souriait et m’écoutait puis m’accosta, j’en fus ému !
Elle parlait la langue de Rimbaud, nous eûmes des illuminations.
En faisant rimer tous nos mots, elle fut hantée par une question :
« Dis-moi, t’es d’où ? c’est pas normal ! D’après l’accent t’es de Paris
Mais t’as la chaleur orientale, t’es pas français, non, t’es d’ici. »
C’est vrai que j’aime la chaleur, la folie, la fougue, les excès,
Mais seules les idées chauffent mon cœur et en moi elles germent en français.
Seul, égaré en Afrique noire, je savourais un bon n’dolé,
Je buvais une kwata au bar et je me suis mis à chanter.
Une jeune femme me regardait mais moi, je ne l’avais pas vue.
Elle souriait et m’écoutait puis m’accosta, j’en fus ému !
Elle parlait la langue d’Hugo, plongés dans nos contemplations,
Nous fîmes s’embraser tous nos mots, elle fut brûlée par une question :
« Dis-moi, t’es d’où toi ? ça me gêne ! d’après l’accent t’es de Paris
Mais t’as la chaleur africaine, t’es pas français, non, t’es d’ici »
Un mot change toute mon existence, grâce à une idée je renais.
Penser est mon acte de naissance, et en moi ça pense en français.
Au fin fond du sud de l’Europe, je dégustais une paëlla.
Je riais, j’hurlais, j’étais au top, buvant l’agua de Valencia.
Une jeune femme me regardait mais moi je ne l’avais pas vue.
Elle souriait et m’écoutait puis m’accosta, j’en fus ému !
Elle parlait la langue de Perrault. Alors avec ma Cendrillon,
Nous fîmes valser tous nos mots à l'exception d'une question.
« Dis-moi, t’es d’où ? il y a un hic ! d’après l’accent t’es de Paris
Mais t’as la chaleur ibérique, t’es pas français, non, t’es d’ici »
Qui me délivre mon passeport ? droit du sol, droit du sang …je dirais
mon drapeau est multicolore, mon vrai pays c’est le Français.
Je délirais comme d’habitude, transporté par la cachaça.
Une jeune femme me regardait mais moi je ne l’avais pas vue.
Elle souriait et m’écoutait puis m’accosta, j’en fus ému !
Elle parlait la langue de Rousseau, nous nous fîmes donc des confessions.
Faisant murmurer tous nos mots, elle me chuchota une question :
« Dis-moi, t’es d’où ? ça m’ turlupine ! D’après l’accent t’es de Paris
Mais tu as la chaleur latine, t’es pas français, non, t’es d’ici. »
Les frontières, je trouve ça inepte, mais je vais t’répondre sans délai
Je suis un gitan du concept et en moi, ils naissent en français !
Exilé en Afrique du nord, je mangeais une tchatchouka.
J’criais à réveiller un mort, humectant mes lèvres de boukha !
Une jeune femme me regardait, mais moi je ne l’avais pas vue.
Elle souriait et m’écoutait puis m’accosta, j’en fus ému !
Elle parlait la langue de Rimbaud, nous eûmes des illuminations.
En faisant rimer tous nos mots, elle fut hantée par une question :
« Dis-moi, t’es d’où ? c’est pas normal ! D’après l’accent t’es de Paris
Mais t’as la chaleur orientale, t’es pas français, non, t’es d’ici. »
C’est vrai que j’aime la chaleur, la folie, la fougue, les excès,
Mais seules les idées chauffent mon cœur et en moi elles germent en français.
Seul, égaré en Afrique noire, je savourais un bon n’dolé,
Je buvais une kwata au bar et je me suis mis à chanter.
Une jeune femme me regardait mais moi, je ne l’avais pas vue.
Elle souriait et m’écoutait puis m’accosta, j’en fus ému !
Elle parlait la langue d’Hugo, plongés dans nos contemplations,
Nous fîmes s’embraser tous nos mots, elle fut brûlée par une question :
« Dis-moi, t’es d’où toi ? ça me gêne ! d’après l’accent t’es de Paris
Mais t’as la chaleur africaine, t’es pas français, non, t’es d’ici »
Un mot change toute mon existence, grâce à une idée je renais.
Penser est mon acte de naissance, et en moi ça pense en français.
Au fin fond du sud de l’Europe, je dégustais une paëlla.
Je riais, j’hurlais, j’étais au top, buvant l’agua de Valencia.
Une jeune femme me regardait mais moi je ne l’avais pas vue.
Elle souriait et m’écoutait puis m’accosta, j’en fus ému !
Elle parlait la langue de Perrault. Alors avec ma Cendrillon,
Nous fîmes valser tous nos mots à l'exception d'une question.
« Dis-moi, t’es d’où ? il y a un hic ! d’après l’accent t’es de Paris
Mais t’as la chaleur ibérique, t’es pas français, non, t’es d’ici »
Qui me délivre mon passeport ? droit du sol, droit du sang …je dirais
mon drapeau est multicolore, mon vrai pays c’est le Français.
Quel est le thème principal de la
chanson ?
Qui sont Perrault, Rousseau, Hugo et
Rimbaud ?
Quelle langue parlent les femmes
rencontrées par le héros ?
Dans quelles parties du monde voyage
le héros ?
Etichette:
Compréhension orale,
Musique,
Questions
mercredi 16 octobre 2013
Aujourd'hui : Journée contre le gaspillage alimentaire
C’est un
choix contre l’égoïsme, contre l’individualisme, pour une société plus solidaire et plus responsable.
Car il y a quelque chose de scandaleux, de profondément injuste dans le fait de
jeter de la nourriture quand tant de Français dépendent de l’aide alimentaire
pour vivre ou que des millions d’hommes, de femmes et d’enfants ne mangent pas
à leur faim.
Lutter contre le gaspillage, c’est mieux consommer et
mieux manger. C’est
aussi redonner à l’alimentation et au travail de ceux qui la produisent leur
juste valeur.
Le gouvernement a fixé un objectif ambitieux : diminuer
par deux le gaspillage dans notre pays d’ici à 2025. Pour y
parvenir l’ensemble des acteurs de la chaîne alimentaire a réfléchi à la
rédaction d’un Pacte
national de lutte contre le gaspillage alimentaire. Un Pacte
qui pose un certain nombre de mesures et d’engagements de la part de chacun,
pour permettre un véritable progrès collectif. Un Pacte qui ne stigmatise aucun
des acteurs engagés dans cette mobilisation contre le gaspillage, mais au
contraire valorise l’implication de chacun.
Par ce Pacte, l’Etat prend les 11
mesures suivantes :
- Un signe de ralliement manifestant la mobilisation de chacun pour
lutter contre le gaspillage.
- Une journée nationale de lutte contre le gaspillage, d’un prix
« anti-gaspi » des pratiques vertueuses et d’une labellisation
de ces pratiques.
- Des formations dans les lycées agricoles et les écoles hôtelières.
- Des clauses relatives à la lutte contre le gaspillage dans les marchés
publics de la restauration collective.
- Une meilleure connaissance du cadre législatif et réglementaire sur la
propriété et la responsabilité lors d’un don alimentaire.
- La lutte contre le gaspillage alimentaire dans les plans relatifs à la
prévention des déchets.
- La mesure de la lutte contre le gaspillage alimentaire dans la
Responsabilité Sociale des Entreprises.
- Le remplacement systématique de la mention DLUO (date
limite d’utilisation optimale )par « À consommer de préférence avant… ».
- Une campagne de communication sur la lutte contre le gaspillage.
- Une nouvelle version du site dédié, www.gaspillagealimentaire.fr.
- Expérimentation, sur un an, du don alimentaire par les citoyens via
une plate-forme numérique, EQosphère.
Etichette:
Actualité,
Cuisine,
Environnement
mardi 8 octobre 2013
Une journée au collège
Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou
fausses :
Hugo est en 5e B.
VraiFaux
Pour être à l'heure à l'école, Hugo se lève à 7h. 30.
VraiFaux
Mme Duval est la prof d'histoire de Stéphie.
VraiFaux
Hugo n'a pas beaucoup de devoirs en maths.
VraiFaux
Parfois Hugo va au collège en voiture avec sa mère.
VraiFaux
Hugo adore les desserts.
VraiFaux
La matière préférée de Stéphie est la géographie.
VraiFaux
Lisez les phrases et cochez la bonne réponse :
Le prochain
contrôle de maths de Hugo est pour:
jeudimardilundi
A la cantine on mange toujours des:
légumesfritesfruits
Stéphie n'aime pas les maths parce que c'est embêtant. Que
signifie le mot embêtant?
drôleintéréssantennuyeux
Les plus jeunes élèves de l'école ont entre :
12 et 14 ans13
et 15 ans11 et 14 ans
Choisissez LES bonnes réponses :
Les élèves aiment
la récré parce qu' :
ils
s'amusent.ils retrouvent
leurs amis.ils font du jogging.ils
parlent avec leurs profs.ils
discutent.
Au groupe de formation de l'école, on peut apprendre un
métier dans :
la
coiffure.l'informatique.la
cuisine.l'automobile.les
arts plastiques.
Fine modulo
dimanche 6 octobre 2013
vendredi 4 octobre 2013
Être et Avoir
Loin des vieux livres de grammaire,
Écoutez comment un beau soir,
Ma mère m'enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir.
Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux.
Avoir et Être étaient deux frères
Que j'ai connus dès le berceau.
Bien qu'opposés de caractère,
On pouvait les croire jumeaux,
Tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.
Ce qu’avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l'avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maître,
Le verbe Être s'est fait avoir.
Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro,
Alors qu’être, toujours en manque.
Souffrait beaucoup dans son ego.
Pendant qu’être apprenait à lire
Et faisait ses humanités,
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.
Et il amassait des fortunes
En avoirs, en liquidités,
Pendant qu’être, un peu dans la lune
S'était laissé déposséder.
Avoir était ostentatoire
Lorsqu'il se montrait généreux,
Être en revanche, et c'est notoire,
Est bien souvent présomptueux.
Avoir voyage en classe Affaires.
Il met tous ses titres à l'abri.
Alors qu’être est plus débonnaire,
Il ne gardera rien pour lui.
Sa richesse est tout intérieure,
Ce sont les choses de l'esprit.
Le verbe Être est tout en pudeur,
Et sa noblesse est à ce prix.
Un jour à force de chimères
Pour parvenir à un accord,
Entre verbes ça peut se faire,
Ils conjuguèrent leurs efforts.
Et pour ne pas perdre la face
Au milieu des mots rassemblés,
Ils se sont répartis les tâches
Pour enfin se réconcilier.
Le verbe Avoir a besoin d'Être
Parce qu'être, c'est exister.
Le verbe Être a besoin d’avoir
Pour enrichir ses bons côtés.
Et de palabres interminables
En arguties alambiquées,
Nos deux frères inséparables
Ont pu être et avoir été.
Écoutez comment un beau soir,
Ma mère m'enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir.
Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux.
Avoir et Être étaient deux frères
Que j'ai connus dès le berceau.
Bien qu'opposés de caractère,
On pouvait les croire jumeaux,
Tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.
Ce qu’avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l'avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maître,
Le verbe Être s'est fait avoir.
Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro,
Alors qu’être, toujours en manque.
Souffrait beaucoup dans son ego.
Pendant qu’être apprenait à lire
Et faisait ses humanités,
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.
Et il amassait des fortunes
En avoirs, en liquidités,
Pendant qu’être, un peu dans la lune
S'était laissé déposséder.
Avoir était ostentatoire
Lorsqu'il se montrait généreux,
Être en revanche, et c'est notoire,
Est bien souvent présomptueux.
Avoir voyage en classe Affaires.
Il met tous ses titres à l'abri.
Alors qu’être est plus débonnaire,
Il ne gardera rien pour lui.
Sa richesse est tout intérieure,
Ce sont les choses de l'esprit.
Le verbe Être est tout en pudeur,
Et sa noblesse est à ce prix.
Un jour à force de chimères
Pour parvenir à un accord,
Entre verbes ça peut se faire,
Ils conjuguèrent leurs efforts.
Et pour ne pas perdre la face
Au milieu des mots rassemblés,
Ils se sont répartis les tâches
Pour enfin se réconcilier.
Le verbe Avoir a besoin d'Être
Parce qu'être, c'est exister.
Le verbe Être a besoin d’avoir
Pour enrichir ses bons côtés.
Et de palabres interminables
En arguties alambiquées,
Nos deux frères inséparables
Ont pu être et avoir été.
Yves Duteil
Des fêtes
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